vendredi 30 septembre 2011

les éléphanteaux des cirques Ringling


De nouvelles photos montrent l'utilisation de cordes, de crochets acérés et de pointes électrifiées pour dresser les éléphants des cirques Ringling
















Chaque année, mères et pères emmènent leurs enfants au cirque Ringling Brospour un petit « plaisir en famille », mais ce qu'ils ne savent pas, c'est comment éléphanteaux sont ligotés cruellement et électrocutés dans le but de les forcer à apprendre des figures.
















Les parents ne voient jamais ce qui se passe dans les coulisses du centre d'élevage Ringling, oú des éléphanteaux non-sevrés sont capturés dans la peur et la violence, reliés par le cou à des éléphants « ancres » puis traînés loin de leurs mères. Les parents ne sont pas conscients de la longue année de dressage dont les séances intensives et violentes durent plusieurs heures par jour. Ils n'entendent jamais les hurlements et les cris, ni ne voient la lutte frénétique et inutile des bébés jetés à terre, tirés par les quatre membres, frappés à coups de crochets et piqués par des pointes électrifiées.















PETA US a acquis les photos choquantes d'un ancien dresseur de Ringling qui montrent des éléphanteaux effrayés au centre d'élevage Ringling subissant des méthodes de dressage barbares destinées à les forcer à faire des figures dans le cirque.
















Envoyez ces photos à tous vos contacts et engagez-les à ne jamais aller au cirque si celui-ci utilise des animaux. Si vous avez une page personnelle sur l'un des sites ci-dessous, il vous suffit de cliquer sur les liens pour partager ces photos maintenant:
Et n'oubliez pas, si vous entrez dans un cirque Ringling – ou tout cirque utilisant des animaux – vous soutenez cette souffrance. Restez loin des cirques qui utilisent des animaux.
source: Ici











lundi 12 septembre 2011

MANIF à MEZILLES Finissons-en !

Aucun test sur l'animal ne garantit l'efficacité et surtout l'innocuité d'un médicament.
Le modèle animal n'est pas utile pour l'homme au contraire il est dangereux.
Il permet seulement à big pharma de mettre sur le marché des médicaments qui ne pourraient l'être si il etaient testé avec des méthodes substitutives.

D'un point de vue éthique l'expérimentation sur les animaux est absolument scandaleuse et honteuse.

Nos impôts servent à alimenter cette filière mortifère pour les animaux comme pour les consommateurs... ne profite qu'aux producteurs et vendeurs de médicaments et leurs associés.

Il est grand temps de protester plus fermement. Nous devons tous demander l'arrêt total des tests sur animaux.

J'ajouterais que malgrè ce que disent leurs publicités (et on comprends pourquoi) les médicaments ne sont pas utiles, pas plus que les vaccins, tous sont nuisibles à la santé.
Une vie saine est la seule garantie de santé.
A chacun de prendre ses responsabilités pour lui-même et pour les autres, tous les autres.


Manifestation contre l'élevage de chiens de... par licaon

mercredi 7 septembre 2011

LE PIC DE NOUS par Michel Tarrier



Promesse ou actualité ?
À l’annonce du 6.999.999.999ème terriens + 1, ou en réponse à ceux qui prévoient un futur sombre en raison de la surcharge humaine, un escadron de démographes commis par les grands patrons spéculateurs et profiteurs des foules caressent l’opinion publique dans le sens du poil. Ces marchands de faim, d’armes et de consommation, appuyés par leurs larbins, tous agresseurs de la biosphère, brandissent le goupillon de la vertu, constatent ou prévoient une salutaire et hypothétique stabilisation démographique d’ici une génération, soit avant le seuil fatidique des 10 milliards. C’est leur boulot, ils sont payés pour cela.
« Demain, il y aura peu à choisir et beaucoup à souffrir. »
« Tant que la flore et la faune poursuivront leur rythme effréné d'extinction conférée, toute création supplémentaire d'un d'entre-nous reste injustifiable. »
« Nous n’avons qu’un ennemi : notre prolificité. »




Je rappelle qu’un pic est un maximum atteint au-delà duquel il y a une descente, tel un sommet suivit d’une pente.
Tout au contraire, les plus écologistes et biocentristes, ceux qui pensent que l’on doit vivre sur une planète vivante, estiment que le score de 10 milliards et que même notre effectif présent de 7 milliards illustrent déjà une surpopullulation qui n’est plus compatible avec une vie en harmonie avec les éléments, que cette population surnuméraire est contraire au respect environnemental le plus élémentaire et donc au bien-être de l’homme. Pour preuves, les déclarations de guerres d’appropriations capitalistes et néocoloniales, pernicieuses ou offensives, notamment au profit de terres fertiles et de ressources du sous-sol, se font incessantes.
Une population humaine en phase avec une vie durable, garantissant une stabilité du climat, une pérennité des ressources, des paysages et des autres espèces devrait probablement se situer aux alentours de 3 milliards, ce qu’elle était il n’y a pas très longtemps, en 1960.D’innombrables intellectuels et libres penseurs, non atteints de propagandisme, l’ont dit et le disent. Tout en précisant que dans tous les cas et pour ce qui concerne la sphère occidentale, il convient de revenir à un mode d’existence moins agressif, plus sobre et moins polluant.
C’est donc maintenant ou jamais qu’il faut envisager notre pic démographique et qu’il faut commencer à nous réduire !
D’autres commentaires…
D’abord, on pourrait longuement discuter les chiffres concernant les promesses d’accalmie procréationniste, ainsi que leur interprétation. Prévisions, sondages et statistiques politiquement corrects et rassurants résistent rarement à l’épreuve du temps. Pour être prophète, il faut être pessimiste et non démagogue ! Le pessimisme est en ce cas constructif.
On nous dit que nous ne dépasserons pas 9 ou 10 milliards… Et alors ? Pourquoi donc fertiliser encore et encore ? Faut-il pousser le bouchon jusqu’aux limites des capacités et des ressources ? Une rame de métro ou un autobus ne doivent-ils rouler que bondés pour être rentables ? Pourquoi cette absence de sagesse, si ce n’est pour plaire à notre instinct de procréation qui n’est plus de mise sur une Terre rétrécie et dans un monde au devenir plus qu’hypothétique ? C’est seulement par irrespect et méchanceté à l’égard des enfants que l’on traite comme des otages et que l’on va plonger dans une existence difficile ? En 2040, nous serons autant à naître qu’à mourir ! Cela me rappelle certaines assertions entendues au temps de mon enfance, du genre : « Ils n’ont pas eu de guerre, ils mangent leur pain blanc le premier… ! » ; ou bien : « Qu’ils en chient comme nous en avons chié… ! ». Elle est belle la promesse vie ! On pourrait aussi en appeler au droit de ne pas naître !
Ces démographes institutionnels qui occupent l’espace médiatique au nom des maîtres du monde s’inscrivent évidemment dans la tradition erronée et religieuse de l’homme contre-nature. Leur cécité écologique m’inquiète plus qu’elle me rassure. Ce sont des anthropocentristes purs et durs qui se croient seuls sur Terre. Ils omettent que l’homme ne survivra pas ou survivra mal dans une biosphère dégradée, dans un climat modifié, avec des écosystèmes aux trois-quarts saccagés, en occupant sans cesse davantage les niches écologiques des autres espèces. Nous avons déjà induit l’extinction de 80% des plantes et des animaux, n’est-ce pas suffisant ? Faut-il cultiver, cimenter, déconstruire les paysages et détricoter davantage la biodiversité ?
La désinformation ambiante passe évidemment sous silence les dates d'épuisement des richesses exploitables : 2021 : fin de l'argent / 2025 : fin de l'or et du zinc / 2028 : fin de l'étain / 2030 : fin du plomb / 2039 : fin du cuivre / 2040 : fin de l'uranium / 2048 : fin du nickel / 2050 : fin du pétrole / 2064 : fin du platine / 2072 : fin du gaz naturel / 2087 : fin du fer / 2120 : fin du cobalt / 2139 : fin de l'aluminium / 2158 : fin du charbon… (Source : Magazine Science et Vie hors série N° 243 de juin 2008)
Il ne fait aucun doute que la date boutoir du monde tel que nous le connaissons sera celle de l’épuisement des énergies fossiles. Pour éviter tout ouragan social, économique et boursier, les compagnies pétrolières et leurs exégètes évitent de faire trop de bruit à propos du pic pétrolier (ou début de la fin) et de sa date. En aucun cas nous ne serons à l’heure pour remplacer le pétrole à hauteur de l’extravagante consommation de notre surpopulation puisque tout provient du pétrole, du gaz ou des dérivés, jusqu’à l’alimentation qui en dépend à 99%. Les réserves de pétrole non conventionnel ne pourront évidemment pas compenser, seulement compléter un court laps de temps. Le solaire et l’éolien ne représentent aujourd’hui que 0,1% de la production énergétique mondiale et aucune énergie renouvelable n’est en mesure de prendre le relai. Cette déplétion pétrolière est inévitable et la question n’est plus de savoir si elle aura lieu, mais quand elle aura lieu. Certains estiment que nous avons déjà atteint le pic, comme l’Agence Internationale de l’Énergie qui le date de 2006. D’autres voix autorisées pensent qu’il surviendra entre 2010 et 2020, rares sont ceux qui le situent après 2020. Nous avons déjà consommé quelque 1200 milliards de barils, soit grosso modo la moitié des réserves. Dites-vous bien que ce pic des énergies fossiles marquera la dégringolade de l’humanité telle que nous la vivons. Il n’y aura aucune alternative, nous ne pourrons y survivre à hauteur de notre effectif, ni de celui d’aujourd’hui, ni de celui de demain, même tempéré par les démo-économistes de service.
N’en déplaise à une mythologie écologique propagée par les agresseurs de la planète, au stade où il est défait, on ne pourra plus refaire le monde, tout au plus stopper l’hémorragie pour gérer les restes et jouer des prolongations plus ou moins viables pour une ou deux générations. Cette mythologie ordinaire est le fruit de mythomanes, lesquels mentent parce qu'ils craignent la réaction de dévalorisation qu'entraînerait l'aveu de la réalité.
Aveuglée par un humanisme contre-productif qui est source d’irrespect écosystémique et coupable d’un infini gaspillage, l’humanité vit déjà à crédit et consomme une planète et demie par an, soit bien plus que ce que la Terre est en capacité de lui offrir.
« Celui qui croit qu’une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est un fou, ou un économiste. »
Kenneth Boulding
« Celui qui croit qu’une démographie exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est un fou, ou un démographe. »
Michel Tarrier
Le pic de nous doit être une actualité, pas une promesse fallacieuse.
Si vous pensez qu’il faut vivre moins nombreux pour que tout le monde puisse tout simplement vivre, lisez :
Faire des enfants tue la planète. Éloge de la dénatalité, de Michel Tarrier
Si, au contraire, vous pensez qu’il faut continuer à mettre sur Terre des enfants au risque qu’ils connaissent une vie invivable, alors lisez :
L'apocalypse démographique n'aura pas lieu : 7 milliards d'hommes sur la planète, de Fred Pearc
Entre-nous : Nous sommes écologiquement moins coupables en élevant un petit chat ou un gros chien qu’en faisant un enfant !

mardi 6 septembre 2011

Mammographie et arnarque

Malaise dans la civilisation : à propose de la mammographie

Manipulation visant à promouvoir la mammographie et qui mérite de rester dans l’histoire internationale de l’escroquerie, le "mois rose" revient : image effrayante de la monstruosité débile où une médecine dévoyée peut désormais conduire les gens.
C’est la responsabilité de tous les citoyens - à commencer par les internautes qui visitent ce site - de montrer qu’il n’est pas trop tard, et que même sans moyens financiers, on peut résister aux lobbies prêts à tout pour s’engraisser aux dépens de notre corps et de notre santé. Bref et pour résumer : que l’intelligence sera toujours plus forte que l’argent.
A chacun de diffuser et de relayer l’information en proportion de sa conviction.
http://www.naturavox.fr/sante/article/malaise-dans-la-civilisation-a