mercredi 10 septembre 2014

STOP ! c'est entre vos mains.

Vous pouvez faire cesser tout cela




ATTENTAT DEMOCRATIQUE



Intervenants: Jacques BREL, Etienne CHOUARD, Francis DUPUIS-DERI, Michel HOUELLEBECQ, Henri GUILLEMIN, Paul JORION, Cornelius CASTORIADIS
Introduction: http://4emesinge.com/
http://le-message.org/

lundi 1 septembre 2014

NESTLE etc ... Assassins ! boycott !


Je conseillerais à tous de boycotter un maximum de grandes multinationnales car elles ont toutes des atteintes aux droits de l’homme à leur actif et font des profits sur l’exploitation des individus (humains et animaux).
Boycottez : Coca-cola, Danone, Nestlé, Unilever, Procter et Gamble, L’Oréal, Pespi, Sanofi, Novartis, Microsoft, General Motors……

http://www.ledetracteur.com/scandale-nestle-boycott/


lundi 18 août 2014

DANS LA PEAU DES ANIMAUX

Si seulement tout le monde pouvait … ou au moins l'entendait

dimanche 20 juillet 2014

HEAD AND SHOULDER ...

BOYCOTT !!!!




vendredi 4 juillet 2014

ON EN VOUDRAIT UN COMME CA !! JOSE MUJICA President de l'uruguay ...



Pépé Mujica, président uruguayen végétarien.
JOSE MUJICA est âgé de 78 ans, il est un ancien guérillero qui fut aussi un prisonnier politique, et il tient à vivre dans la plus grande simplicité en dépit de son élection en novembre 2009.
Souvent surnommé "le président des pauvres" par la presse internationale, Mujica reverse en effet 87% de son salaire à des fondations sociales, continue d'habiter dans sa modeste ferme située dans une banlieue populaire de Montevideo, refuse de porter la cravate ...
Il a passé douze ans dans les geôles des militaires pendant la dictature en Uruguay, torturé et enfermé deux ans au fond d'un puits. José Mujica, dit "Pepe", président de l'Uruguay, a même confié que, pendant ces années noires, ses uniques compagnons étaient une grenouille et des rats avec lesquels il partageait des quignons de pain...
Né le 20 mai 1935 dans une famille modeste (son père était d'origine basque et sa mère une descendante d'Italiens), José Mujica a commencé son parcours politique au côté de militants anarchistes.
Au lendemain du retour de la démocratie, en 1984, M. Mujica bénéficie des lois d'amnistie. Et commence un brillant parcours politique : il fonde le Mouvement de participation populaire (MPP), adhérant au Front élargi en 1989. Elu député en 1995, il devient, quatre ans plus tard, le sénateur le mieux élu de l'histoire uruguayenne. En 2004, il est nommé ministre de l'agriculture. Ce parcours sans bavures se conclut en novembre 2009 par son élection à la présidence, avec plus de 52 % des voix.
BIEN QU'ATYPIQUE, IL MÈNE UNE POLITIQUE PLUTÔT LIBÉRALE
Chef d'Etat atypique se présentant comme le "candidat des pauvres", José Mujica mène une politique fidèle à la tradition, plutôt libérale, du pays. L'Uruguay a été l'un des premiers pays du monde à abolir la peine de mort, en 1907. Six ans plus tard le divorce était légalisé. Vingt ans plus tard, les femmes obtenaient le droit de vote. Et, depuis 2008, les couples homosexuels peuvent adopter des enfants.
José Mujica, marié à la sénatrice Lucia Topolansky, elle aussi ancienne militante des Tupamaros, refuse d'habiter l'opulent palais présidentiel à Montevideo. Il faut parcourir un chemin de terre jalonné de jardins potagers, dans une banlieue rurale de la capitale, pour arriver jusqu'à l'humble rancho où vivent le président et la première dame : une chambre et une cuisine rudimentaire recouvertes d'un toit en zinc. Le seul luxe de "Pepe" Mujica est une Coccinelle bleue, achetée en 1987. Il bricole lui-même ses trois tracteurs, avec lesquels il laboure la terre et cultive des chrysanthèmes, flanqué de sa chienne Manuela, une bâtarde noire à qui il manque une patte.
Il a aboli la corrida et se montre un grand ami des animaux.
le Parlement uruguayen a approuvé la loi qui fait de la totalité des eaux territoriales du pays un sanctuaire pour les baleines et les dauphins. Le texte de loi stipule que dès à présent « les eaux territoriales et la zone économique exclusive de la République d’Uruguay » sont déclarées « sanctuaire pour les baleines et les dauphins dans l’objectif d’assurer la présence de cétacés dans (ces) eaux » afin de préserver « la reproduction et les migrations (…) de ces espèces menacées« .
Le Comité exécutif a émis un décret-loi 18.741, qui, entre autres choses prévoit des amendes de 500 unités réglables par les responsables de la maltraitance sur des animaux.
L'animal ne doit pas souffrir de la faim et de la soif, ne pas être entravé, lui éviter la douleur, la souffrance et la maladie (obligation de soins), la peur et la détresse. En outre l'animal doit pouvoir être libre d'exprimer des comportements normaux dit le décret signé par le président de l'Uruguay.
Il stipule aussi que « tout animal qui est perdu sans identification sur la voie publique est susceptible d'être capturé et stérilisé et les propriétaires ne seront pas en droit de réclamer . "
Cirques :Le nouveau projet de loi interdit, entre autres choses, la création et le fonctionnement dans tout le pays, des cirques "dans lesquels des animaux sont utilisés dans le cadre de l'animation (divertissement)."
Amendes pour abandon. une amende allant de 10 100 UR -environ 325€- (ou peine d'emprisonnement équivalente) est prévue pour les cas d'abus ou de dommages occasionnés à l'intégrité physique d'un animal...
L'inscription de l'animal sur le registre national doit se faire dans les 15 premiers jours suivant la naissance, l'adoption ou l'acquisition. Un délai similaire est prévu en cas de mort, de disparition ou de transfert à un tiers. Les propriétaires d'animaux devront également ramasser les déjections.
Les chevaux de sport ne peuvent pas rester plus de 8 heures d'affilée dans les véhicules assurant leur transport, lequel doit avoir une ouverture qui permet à l'animal de regarder à l'extérieur. En-dehors des rênes, aucun autre outil (ustensile comme les fouets ou piques) n'est autorisé.
Un cheval ne peut pas être laissé seul pendant plus de 10 minutes au cours de la journée de travail ou attaché à un véhicule, bennes à ordures ou autres éléments mobiles....
on a noté 196 articles concernant les animaux...

Josy Borselli


Il reverse la plupart de son salaire à des œuvres charitables, de sorte qu’il ne lui reste par mois qu’environ 775$, c’est à dire le salaire moyen en Uruguay.


et 

Un petit coup d'oeil sur les salaires des leaders politique dans le monde :




lundi 26 mai 2014

MINATEC à CAEN

Contre le Minatec de Caen

samedi 15 février 2014 par Des réfractaires de Caen
Vous souvenez-vous du temps pas si lointain où toutes sortes d’imbéciles et de menteurs nous assuraient que "les nanotechnologies n’existent pas" ? Qu’il ne s’agissait que d’un "bluff" des labos pour pomper des crédits ? Scientifiques, journalistes ou militants, on ne lit plus beaucoup de dénis parmi ces esprits forts et bien informés. Depuis, il y a eu Minatec (2006), il y a eu le Minatec de Saclay, celui de Toulouse, et aujourd’hui celui de Caen. Aujourd’hui le nanomonde.
Ci-dessous, le tract distribué à Caen ce 15 février 2014 par les opposants au "Campus Effiscience", à l’occasion d’une visite de Michel Destot, techno-maire de Grenoble.

***

Ce samedi 15 février 2014, le maire de Caen, Duron, organisait une réunion avec en vedette le député-maire de Grenoble Destot, l’un des fondateurs du campus spécialisé dans les nanotechnologies MINATEC. Cette réunion était l’occasion de lancer le projet d’un MINATEC caennais, autour du campus Effiscience (sur deux sites, le campus 2 avec l’accélérateur de particules au GANIL et l’école d’ingénieurs, ainsi que l’ex bastion ouvrier SMN réhabilité en « pépinière » d’entreprises des nouvelles technologies, avec Webhelp et NXP notamment) spécialisé dans le nucléaire, les nanotechnologies et autres technologies sans contact. Une petite poignée d’opposant-es s’y sont invités, ont distribué le tract ci-joint et exprimé leur opposition avant de partir, non sans avoir éclaté quelques boules malodorantes…

***

« Notre volonté à terme : faire du Plateau Nord un MINATEC caennais, à l’image du célèbre campus d’innovation grenoblois. » - Philippe Duron
Ce samedi, le maire de Caen Philippe Duron nous invite à écouter le technocrate Michel Destot, actuel député-maire de Grenoble et artisan de MINATEC. Le but ? Promouvoir un projet avec ses ravages industriels annoncés, et une liberté toujours plus réduite, au profit d’entreprises «  innovantes ». Innovantes, surtout pour développer de la merde.
MINATEC, qu’est-ce que c’est ?
MINATEC, c’est un « campus d’innovation pour les micro et les nanotechnologies » basé à Grenoble, un lieu où des chercheurs travaillent à rendre plus efficaces et invisibles les appareils de contrôle : caméras intelligentes, drones de surveillance, ou encore puces RFID. Ces puces minuscules contiennent des informations lisibles à distance et sont de plus en plus présentes dans tous les objets, et bientôt sous notre peau. Nous ne voulons pas être contrôlés à chaque moment de notre vie.
C’est avec le même zèle et porté par la même pensée policière que Destot soutient le délire sécuritaire qui s’empare de la technopole grenobloise après des émeutes en 2010. C’est dans cette ambiance que Sarkozy livre son discours ouvertement raciste et anti-roms quelques semaines plus tard.
Nous ne voulons pas non plus de l’être humain amélioré ou augmenté que nous promettent les nouvelles technologies. Nous n’avons que faire des textiles intelligents et autres nouveaux gadgets inutiles qui réduisent toujours plus notre autonomie.
MINATEC, fondé par des chercheurs du Commissariat à l’Energie Atomique, c’est un lieu où des chercheurs financés par un mix public-privé se proposent de résoudre les désastres générés par ceux qui les ont précédés avec conviction dans le développement d’innovations capitalistes et industrielles. C’est visiblement un lieu où le bon sens n’a sa place que s’il peut générer de nouveaux profits : dépolluer, soigner à l’aide de nanoparticules, apprendre à vivre en zone contaminée etc. Bien sûr, hors de question de s’attaquer au nucléaire, à l’agrochimie, aux industries, au capitalisme, bref tout ce qui est au cœur du redressement productif à la sauce sociale-libérale.
MINATEC, c’est surtout un lieu où s’échangent les bons plans pour se faire du fric, un lieu où se mêlent Etat, chercheurs, industriels et politiciens. Un lieu qui participe à l’exploitation capitaliste, aux ravages industriels et à la réduction de notre liberté au profit de quelques patrons et technocrates.
Le campus Effiscience, qu’est-ce que c’est ?
Les élus de Caen veulent faire de Caen une capitale, une métropole, ils ont des envies de grandeur. Ils ont choisi des secteurs stratégiques (nucléaire, nanotechnologies et numérique) « comme fers de lance de leur stratégie de développement » (dixit Duron). Le campus Effiscience est l’incarnation de cette stratégie.
Effiscience n’est pas un campus comme les autres, bien qu’ils soient tous bientôt appelés à lui ressembler. C’est un campus au profit du capitalisme, avec ses 80 start-ups, c’est-à-dire de notre exploitation. Recherche et science y sont soumises aux intérêts du capital. Etat, collectivités locales, industriels et chercheurs s’y croisent, voire se confondent, comme ce Michel Destot, député et maire de Grenoble depuis 19 ans, lui-même ex-ingénieur au Commissariat à l’Energie Atomique et créateur d’entreprise.
Les emplois et le médical pour justifier les désastres
On ne compte plus les désastres politiques, sociaux, sanitaires et environnementaux créés par les nouvelles technologies. Etat, chercheurs, industriels et politiciens le savent bien, c’est pour ça qu’ils cherchent des moyens de faire passer la pilule. L’acceptabilité, c’est l’avenir. C’est d’ores et déjà ce qu’on propose aux chercheurs en sciences sociales, appelés à devenir des spécialistes de l’acceptabilité d’un monde toujours plus merdique et chargés d’étudier les oppositions pour mieux les contrôler.
L’acceptabilité, c’est aussi essayer de faire accepter n’importe quoi en promettant des emplois. Ou comment se foutre de la vie au profit de l’économie. Ça devrait nous faire oublier les désastres industriels, la radioactivité, les appareils de contrôle etc. Obsédés par la croissance, ces apôtres du progrès préfèrent l’alimenter plutôt que d’interroger le mode de fonctionnement de nos sociétés. Il ne faut pas s’attendre à ce que ceux qui gagnent à prolonger le désastre veuillent y mettre un terme.
L’acceptabilité, c’est aussi sortir l’argument médical à tout va. Les technosciences, après avoir développé vos cancers, se proposent de les soigner. C’est ainsi qu’AREVA, multinationale du nucléaire et propagateur de radioactivité en masse, va investir 200 millions d’euros à Effiscience pour « lutter contre le cancer », et bien évidemment au passage se faire du fric. On hésite entre le rire et la baffe. Apparemment, eux ont choisi le cynisme… La recherche fondamentale et les applications médicales sont toujours le cheval de Troie de l’industrie nucléaire et du développement des nécrotechnologies dans leur ensemble.
Plus que le médical, ces campus d’innovation servent d’appui à des industriels avides de profit et à des technocrates qui ont pour obsession de programmer un monde à leur convenance et protégeant leurs intérêts. En outre, derrière le médical se cache parfois des vérités moins reluisantes. MINATEC travaille aussi pour le militaire. Un rapport publié en juin 2006 par l’Observatoire des transferts d’armements met le doigt dessus. Comme on peut le lire sur le site de Pièces et main d’œuvre, « les ’communicants’ ont beau exhiber les blouses blanches des chercheurs du CEA, c’est d’un kaki tout militaire que s’habillent leurs recherches. Nano-drones espions ’Libellule’ et Fantassin à liaisons intégrées ’FELIN’ sortent aujourd’hui des nano-labs et viennent agrandir le bestiaire militaire. Quand les batteries de ces machines de guerre ne sortent pas directement du CEA, il ne faut pas chercher plus loin qu’à Minalogic, où start-up et spin-off du CEA, sous contrat avec la DGA (Délégation Générale pour l’Armement), travaillent pour le progrès. »
Et l’écologie dans tout ça ?
Ça fait bien longtemps qu’elle ne combat plus les logiques des industriels pas plus qu’elle ne les entrave. Pire, elle les sert en renvoyant la culpabilité à un niveau individuel. Si tout est affaire de comportements, tout devient traçable : de la viande aux communications en passant par les déplacements, les poubelles mais aussi les consommations électriques. Contrôle du vivant, pistable en permanence… L’écologie devient alors le meilleur allié de ce socialisme technocratique et technophile défendu de concert par Destot, Duron et leurs complices. Avec la collaboration d’EELV au gouvernement et à la municipalité, seuls sont servis les intérêts du capital. Pour eux, il ne s’agit plus tant de sauver la planète que de sauver un monde, celui de la consommation, des écrans plats, des boulots absurdes, des conforts factices, des besoins créés, des objets inutiles, etc.
De la même manière qu’à Grenoble une opposition s’est constituée contre les délires techno-scientistes et les appétits capitalistes, nous entendons bien à Caen ne pas laisser ce projet se réaliser en silence. Leur détermination à faire un monde de merde n’est pas à la hauteur de notre rage !

LA STERILITE POUR TOUS ET TOUTES !

mardi 20 mai 2014 par Alexis Escudero

Nous entamons avec cette livraison une série sur La reproduction artificielle de l’humain (alias PMA-GPA) à l’ère technologique. Celle-ci n’est pas le dernier cri de l’émancipation ni de l’égalité, mais l’ultime reddition à l’appropriation du vivant et à l’aliénation technologique. Le capitalisme, dans son expansion perpétuelle, s’empare de tout ce qui était libre, gratuit, commun, des biens matériels comme des savoir-faire, les détruit et nous les revend sous forme marchande, synthétique et altérée. Cette forme technologique, à la fois complexe, coûteuse et souvent dangereuse, garantit la pérennité de la dépossession : il n’y aura pas de retour en arrière (à supposer que les communautés et les individus puissent recouvrer la propriété de tout ce qu’on leur a volé).
Il était fatal qu’après s’être emparé de la sphère de la production (l’eau, la terre, les matières premières, le travail humain, etc), le techno-capitalisme s’attaque à la reproduction. Il faut pour cela que soit détruite cette faculté scandaleuse dont jouissaient les humains de se reproduire par leurs propres moyens – et même, quelquefois avec plaisir. Cette première livraison (outre l’avant-propos) est donc consacrée à la destruction des capacités de reproduction humaine par l’industrie chimique, et aux progrès foudroyants de la stérilité.
L’auteur, Alexis Escudero, participe depuis plusieurs années au mouvement de critique des technologies. Peut-être est-il de la dernière génération d’enfants nés, et non pas produits.

jeudi 20 mars 2014

PETA's Top 10 Reasons to Give Up Meat This World Vegetarian Day, 1 October

by Mimi Beckechi 

PETA UK's Associate Director



Gone are the days when vegetarians were served up lumpy lentil stews and dull-as-dishwater veggie dahls. Veggie faux meats such as bacon and sausages - along with an ever-expanding variety of fresh fruit and veggies - mean the vegetarian diet has taken the world by storm.
With World Vegetarian Day coming up on 1 October, here without further ado are PETA's Top 10 Reasons Not to Eat Meat:
1. Helping Animals Also Helps the Global Poor
The world's cattle alone consume a quantity of food equal to the caloric needs of 8.7 billion people - more than the entire human population on Earth. Meanwhile, more than 1 billion people worldwide are undernourished. By feeding grain currently funnelled to farmed animals to starving people instead, everyone would have enough to eat. Care about global poverty? Time to ditch animal products.
2. Eating Meat Supports Cruelty to Animals 
Green pastures and idyllic barnyard scenes are not the reality for more than 95% of animals raised for food. On today's factory farms, animals are crammed into filthy wire cages, gestation crates and other confinement systems. These animals will never raise families, forage for food or do anything else that is natural and important to them. They won't even get to feel the warmth of the sun on their backs or breathe fresh air until the day they are loaded onto trucks bound for slaughter.
3. Eating Meat Is Bad for the Environment
A recent United Nations (UN) report titled Livestock's Long Shadow: Environmental Issues and Options concludes that eating meat is "one of the ... most significant contributors to the most serious environmental problems, at every scale from local to global". Raising animals for food requires massive amounts of land, food, energy and water. Earlier this year, scientists warned that we will have to cut meat consumption in half in order to avoid the worst consequences of climate change.
4. Avoid SARS and Other Deadly Pathogens
Keeping thousands of animals crowded together in sheds, living amid mountains of accumulated waste, while feeding them enormous quantities of drugs creates a breeding ground for new, ever-mutating strains of potentially lethal viruses. Hans-Gerhard Wagner, a senior officer with the UN's Food and Agriculture Organisation, calls industrial livestock farming an "opportunity for emerging disease". It shouldn't have to take a pandemic to stop us from eating meat.
5. If You Wouldn't Eat a Dog, You Shouldn't Eat a Chicken 
Several recent studies have shown that chickens are bright animals who are able to solve complex problems, demonstrate self-control and worry about the future. Chickens are smarter than cats and dogs and even do some things that have not yet been seen in mammals other than primates. Dr Chris Evans, who studies animal behaviour and communication at Macquarie University in Australia, says, "As a trick at conferences, I sometimes list these attributes, without mentioning chickens, and people think I'm talking about monkeys".
6. Heart Disease: The UK's Number-One Killer
Healthy vegetarian diets support a lifetime of good health and offer protection against numerous diseases, including the UK's three biggest killers: heart disease, cancer and strokes. Drs Dean Ornish and Caldwell Esselstyn have used a vegan diet to achieve 100 per cent success in preventing and reversing heart disease, as chronicled most recently in Dr Esslesytn's Prevent and Reverse Heart Disease, which documents his success in unclogging people's arteries.
7. Cancer: The UK's Number-Two Killer
Dr T Colin Campbell is one of the world's foremost epidemiological scientists. His bestselling book, The China Study, is a must-read for anyone who is concerned about cancer. The book, based on a study that The New York Times called "the most comprehensive large study ever undertaken of the relationship between diet and the risk of developing disease", states, "[N]o chemical carcinogen is nearly so important in causing human cancer as animal protein".
8. Fitting Into That Little Black Dress
A vegetarian diet is also the ultimate weight-loss diet, and vegetarians are one-third as likely to be obese as meat-eaters are, and vegans are about one-tenth as likely to be obese. Of course, there are overweight vegans, just as there are skinny meat-eaters. But on average, vegans are 10 to 20 per cent lighter than meat-eaters. A vegetarian diet is the only diet that has passed peer review and taken weight off and kept it off.
9. Global Peace
Leo Tolstoy claimed that "vegetarianism is the taproot of humanitarianism". His point? People who wish to sow the seeds of peace should be eating as peaceful a diet as possible. Eating meat supports killing animals, for no reason other than humans' acquired taste for animals' flesh. Great humanitarians, from Leo Tolstoy and Mahatma Gandhi to Thich Nhat Hanh, have argued that a vegetarian diet is the only diet for people who want to make the world a kinder place.
10. The Joy of Veggies
People report that when they adopt a vegetarian diet, their range of foods explodes from a centre-of-the-plate meat item to a range of grains, legumes, fruits and vegetables that they didn't even know existed.
Paul McCartney sums it all up: "If anyone wants to save the planet, all they have to do is just stop eating meat. That's the single most important thing you could do. It's staggering when you think about it. Vegetarianism takes care of so many things in one shot: ecology, famine, cruelty".
So are you ready to give it a try?
Check out PETA.org.uk for recipes and meal plans and to order your free vegetarian/vegan starter kit.
 
Follow Mimi Bekhechi on Twitter: www.twitter.com/@Mimi_Bekhechi

JOURNEE SANS VIANDE !! toutes les raisons de ne pas manger de viande


Journée sans viande : 8 raisons pour ne plus manger de produits animaux

Par Association L214

Ce jeudi 20 mars, c'est la journée mondiale du bonheur, adoptée à l'unanimité par les membres de l'ONU en 2012. Coïncidence ? Depuis 30 ans, le 20 mars célèbre chaque année la journée mondiale sans viande. Pas de viande dans l'assiette et le sourire aux lèvres : si c'était la recette du bonheur ?

Les raisons de profiter de cette journée pour végétaliser son alimentation ne manquent pas : on vous en a sélectionné huit.

1. Vous faites encore mieux que la circulation alternée...

...en matière d'émissions de gaz à effet de serre (GES). Chaque fois que vous préférez les falafels au kebab ou le steak végétal au tournedos, vous vous épargnez (et vous épargnez à la planète) les GES d'un aller-retour Paris-Bucarest en voiture.


2. La viande heureuse : fin d'un mythe

Vous êtes opposé(e) à la cruauté exercée sur les animaux, mais vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que des animaux bien traités et tués sans souffrance puissent être élevés et abattus pour la consommation ? Diagnostic : vous êtes atteint par le mythe de la viande heureuse.

En vérité, il n'y a pas de vache soulagée d'être séparée de son veau, pas de cochon castré à vif sans douleur, pas de poussin volontaire pour passer à la broyeuse dans les couvoirs, pas de mort douce dans les abattoirs.

L'agriculture biologique, ultra-minoritaire, n'exempte pas les animaux de ces pratiques brutales.

Et dans votre quotidien, au snack, au restaurant, au supermarché, l'immense majorité des produits animaux sont le reflet du modèle agricole français : de l'élevage intensif pour 80% des poules et des poulets, pour 95% des cochons, ou encore 99% des lapins.

3. Plus rien ne vous empêche de craquer pour Esther et Samuel

Il est adorable, elle est malicieuse : Samuel et Esther sont deux rescapés de l'industrie de l'élevage.

Petit veau de la production laitière, Samuel cumulait les "défauts" : mâle – donc ne présentant pas d'intérêt pour la laiterie – et chétif – donc pas bon à produire de la viande.

Fluet porcelet rose bonbon, Esther était aussi trop fragile pour être rentable. Tous deux ont été recueillis in extremis dans un refuge et dans une famille.

Depuis leurs sanctuaires, Samuel et Esther enseignent au monde entier que les animaux sont, comme eux, des êtres doués d'émotions, intelligents et attachants. Que l'on préfère heureux et vivants que démembrés et tranchés sous cellophane.


"Maintenant je peux te regarder en paix, désormais je ne te mange plus." Franz Kafka (Esther The Wonder Pig/DR)

4. Les antibiotiques, très peu pour vous

Plus de la moitié des antibiotiques distribués dans le monde sont consommés... par les animaux, notamment dans les élevages. Dans les élevages intensifs, les antibiotiques leur sont administrés de façon quasi-systématique, incorporés à l'aliment ou à l'eau de boisson, même en l'absence de pathologie avérée. Cette situation aggrave le phénomène d'antibiorésistance des bactéries transmissibles à l'homme. 

En mars 2014, l'UFC-Que Choisir a révélé que 26 échantillons de poulets et de dindes sur 100 vendus dans le commerce sont porteurs de bactéries E-coli majoritairement résistantes aux antibiotiques.

De par sa production intensive, l'élevage crée les conditions idéales pour l’émergence et la propagation de nouveaux pathogènes. En revanche, il n’y a jamais eu de "grippe légumière" ni de "maladie du petit pois fou" !

5. Végétariens en pleine forme

"Les alimentations végétariennes (y compris le végétalisme) menés de façon appropriée sont bonnes pour la santé, adéquates sur le plan nutritionnel et bénéfiques pour la prévention et le traitement de certaines maladies" : c’est la position officielle de la plus grande association de nutritionnistes au monde, l'Association américaine de diététique (ADA), qui compte 72.000 membres.

Détendez-vous, tout va bien se passer !

6. La gastronomie végétalienne va vous surprendre

À cet instant, si vous imaginez trois feuilles de salade se battant misérablement en duel au bord d'une assiette, chassez de votre esprit cette vilaine image et visitez tout de suite les nombreux blogs culinairesdédiés à la cuisine végétale.

De la cuisine la plus traditionnelle aux créations et saveurs les plus originales, la gastronomie éthique et végétale va vous étonner. Et c'est tendance ! Le chef le plus étoilé au monde Joël Robuchon estime que "la cuisine végétarienne sera celle des dix prochaines années". 

D'ailleurs, pourquoi ne pas célébrer ce soir la journée sans viande dans l'un des nombreux restaurants végétariens à Paris ou ailleurs ?

7. Ils s'y sont mis... Et vous ?

Joaquin Phoenix, Nathalie Baye, Mike Tyson, Natalie Portman, Moby, Pink, James Cameron... et même Al Gore et Bill Clinton. Tous ont un point commun : ne plus manger de viande ou de produits animaux.


Ils l'ont fait pour les animaux, pour l'environnement ou pour préserver leur santé. Et leur nombre va croissant : des personnalités aussi influentes qu'Oprah Winfrey proposent même un "Guide du vegan débutant" sur leur site internet.

8. Prenez de l'avance sur 2050...

L'Institut international de l'eau de Stockholm, le prédit :

"Il n’y aura pas suffisamment d’eau disponible sur nos terres agricoles pour produire de la nourriture pour une population qui devrait atteindre neuf milliards d'habitants en 2050, si nous suivons les tendances alimentaires actuelles dans les pays occidentaux." 

D'après les scientifiques, une alimentation riche en viande utiliserait dix fois plus d'eau qu'un régime végétarien, du fait des quantités d'aliments mobilisées pour nourrir les animaux des élevages.

En 2050, volontaires ou pas, nous n'aurons pas d'autre choix que d'abandonner les produits carnés. Prenez de l'avance ! Le sort des humains, des animaux et de la planète n'attend pas.


Les produits du "Boucher végétarien" attirent de plus en plus

désolée pour la pub inevitable!


Source :
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1161058-journee-sans-viande-huit-raisons-pour-ne-plus-manger-de-produits-animaux.html