lundi 28 septembre 2009

L'holocauste REACH : les assassins vivisecteurs-menteurs montent au créneau

Coup de poignard dans le dos de la fondation, le projet REACH validé par l'europe :

Plus de 90 % des substances chimiques en circulation depuis avant 1981 doivent subir dans les dix années à venir des tests pour déterminer leur toxicité. Pour l'homme et pour l'environnement... sur les animaux bien entendu car on s'appuie encore sur des lois datant des années de l'après-guerre.

Actuellement en France, l'expérimentation animale est obligatoire pour déterminer la toxicité des substances chimiques, des pesticides, des médicaments humains et vétérinaires.

Pour tester les substances chimiques et pesticides, les animaux le plus souvent utilisés sont les rongeurs, les rats, souris, cobayes; puis les lapins, poissons et/ou oiseaux.

Pour les médicaments humains, les primates sont aussi utilisés, ainsi que les chiens (beagles en particulier ; vivant en meute, on évite ainsi de les sociabiliser avec les hommes); pour les médicaments vétérinaires, en priorité les chiens, les primates, les chats, ces derniers en particulier pour la neurologie.

Le sacrifice pourrait dépasser les 50 millions d'animaux de laboratoire, d'après Thomas Hartung, un toxicologue dont les prévisions parues fin août dans la revue scientifique « Nature » alertent les militants de la cause animale.

source : ICI

Petition organisée par la Fondation Bardot : Le droit à l'objection de conscience
BB :""Les pouvoirs publics doivent remettre en cause le principe de l'expérimentation animale en soutenant les chercheurs qui travaillent au développement de nouvelles méthodes.

J'attends aussi qu'ils reconnaissent un droit d'objection de conscience à l'expérimentation animale comme cela existe dans plusieurs pays européens.

Ma Fondation a travaillé à la rédaction d'une proposition de loi, enregistrée à l'Assemblée Nationale, il est temps aujourd'hui d'adopter ce texte.

Je lance d'ailleurs un appel aux étudiants pour qu'ils refusent de participer aux expérimentations et même aux dissections inutiles pratiquées dans les établissements scolaires.""

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