lundi 8 octobre 2012

LES OMGs AUGMENTENT L'UTILISATION DES PESTICIDES

Contrairement aux doires des producteurs d'OGM partout dans le monde, le constat est là, impossible de nier.

Les OGM augmentent nettement l'utilisation de pesticides

AGRICULTURE DERAISONNEE...

Un bug (résistant)...

Mais l'important est ailleurs : durant les premières années qui ont suivi l'introduction des OGM, la consommation de pesticides a effectivement été réduite.

Puis, des mauvaises herbes résistantes ont fait leur apparition, et la tendance s'est inversée... On assiste actuellement à une véritable explosion, affirme le chercheur : la plus grosse partie de l'augmentation est survenue depuis 2007, et entre 2009 et 2010 seulement, la quantité d'herbicides épandue a bondi de 24%. Défoliant Décoiffant !

Non seulement les agriculteurs utilisent d'avantage d'herbicides classiques (du Roundup principalement), mais en plus, ils doivent appliquer d'autres herbicides, plus violents d'un point de vue environnemental et sanitaire, comme le "2,4-D" (un des constituants de l'agent orange qui a fait fureur au Vietnam)... dont les premières traces de résistance ont d'ailleurs déjà été constatées.

Et l'histoire se répète du côté des insectes : la chrysomèle du maïs est en train de s'adapter aux toxines produites par les plantes, et les agriculteurs du Midwest sont désormais contraints d'épandre de nouveaux insecticides.

La baisse constatée des quantités d'insecticides pourrait bien être rapidement effacée.

OGM : L'EFSA l'agence européenne aux doubles casquettes

L'EFSA L'AGENCE TOUS RISQUES!!!!


Pour rédiger son préavis sur l’étude de Gilles-Eric Séralini sur le maïs NK 603, l’Agence européenne de sécurité alimentaire (Efsa), avait montré patte blanche : elle assurait que les rédacteurs n’étaient pas membres du "panel" (le groupe scientifique) qui avait autorisé la mise sur le marché de ce même NK 603.
Logique : être juge et partie rendait ipso facto l’avis suspect. Comment en effet se déjuger sur ce qu’on a déjà jugé ? Sauf qu’une fois de plus, l’Efsa se prend les pieds dans la déontologie.
Explication :
L’un des deux scientifiques consultés ("peer reviewers" (1)) pour rédiger le préavis assassin de l’Efsa sur la recherche de Gilles-Eric Séralini le 3 octobre dernier est le britannique Andrew Chesson.
Or c’est le même Andrew Chesson qui, avec Gijs Kleter, avait préparé le brouillon d’avis sur lequel le panel de l’Efsa avait voté positivement le 25 novembre 2003. Et qui concluait à l’autorisation de mise sur le marché du maïs NK 603.
Andrew Chesson était en effet chaleureusement remercié en toute fin de l'avis favorable de novembre 2003 en ces termes : "Le groupe scientifique sur les organismes génétiquement modifiés tient à remercier Andrew Chesson et Kleter Gijs pour leur contribution au projet d'avis."


http://www.lesmotsontunsens.com/les-ogm-augmentent-l-utilisation-de-pesticides-13340

http://www.scoop.it/t/abeilles-intoxications-et-informations

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