Il y a un peu plus de cinq mois, le 31 mars dernier (20 jours après le début de la catastrophe nucléaire de Fukushima)je suis venu indigné de la demande de non lieu du Procureur Général de Paris et du dessaisissement du Juge d’instruction, par solidarité avec ceux qui souffriront à l’avenir des catastrophes nucléaires mortifères perpétuelles.
L’audience se tenait scandaleusement à huis clos ! Sans les terribles événements japonais encore en cours la justice française envisageait de prononcer discrètement un non lieu vis à vis du représentant emblématique des criminels mensonges institutionnels de 1986.
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