lundi 25 novembre 2013

La viande de porc, vous en mangez?


C'est votre futur jambon...
Vous mangerez ses côtes, ses petits pieds, son museau, et quasiment l'ensemble de son cadavre.

Il va vivre l'enfer. Il va mourir dans d'atroces souffrances. 
Pour vous. Pour votre plaisir gustatif.

Regardez son visage. Soutenez son regard. 
Ne les oubliez pas quand vous découperez les morceaux de son corps. 
Ne les oubliez pas quand vous planterez vos dents dans sa chair.

Votre choix l'a tué.










LES TRAVERS DU PORC

Les consommateurs n'ont pas oublié le scandale, début 2013, de la viande de cheval découverte dans des plats cuisinés censés contenir du boeuf. Les questions que cette affaire soulève sur la traçabilité de la viande se sont transformées en questionnement général sur l'industrie de la viande. Le documentaire de Pierre Toury vient une nouvelle fois enfoncer le clou : l'élevage industriel est synonyme de mal-être animal et de viande de mauvaise qualité - mais il assure des marges élevées à la grande distribution.
Aujourd'hui, 95 % des 23 millions de porcs abattus chaque année en France ont été élevés hors-sol, de manière industrielle. Maladies, mutilations, exiguïté : le productivisme n'est évidemment pas sans conséquences sur les conditions de vie des bêtes. Et si la filière porcine représente un marché de près de 6 milliards d'euros pour l'industrie agroalimentaire, les éleveurs n'y trouvent souvent pas leur compte : en cas de hausse des prix, 89 % des marges reviennent à la grande distribution et, depuis dix ans, plus de 30 % des éleveurs de porcs bretons ont mis la clé sous la porte.
Si l'on n'est pas vraiment surpris par ce que nous montre ce documentaire qui, au fond, ne fait que mettre en évidence les nombreux « travers » inhérents à l'industrie agroalimentaire, ce rappel, centré sur l'industrie de la viande porcine, est tout de même bienvenu, d'autant qu'il montre des alternatives à l'élevage industriel, quitte à les idéaliser un peu : on sourit à l'image, sur fond de musique douce, de ces porcelets endormis sur la paille d'une ferme biologique bretonne... Néanmoins, les éleveurs ayant décidé de changer radicalement de modèle existent bel et bien, y compris en dehors de la filière bio. S'écartant du standard imposé par l'industrie agroalimentaire, ils ont choisi un élevage raisonné : lumière naturelle et espace pour les animaux, respect de la croissance des bêtes, alimentation avec des céréales issues de la même exploitation, vente directe... Et malgré une prise de risque initiale, les éleveurs qui témoignent ici s'en sortent souvent bien mieux financièrement que la grande majorité de ceux qui ont opté pour l'élevage industriel.
(article : Justine Fontaine)
Reportage sur la qualité de la viande de porc et le pouvoir des grandes surfaces
et la souffrances épouvantable de ces pauvres animaux : 
pour que ceux qui en mangent sachent ce qu'ils mangent !
le problème ce sont les grandes surfaces... et les consommateurs aveugles.
1,50 le kilo !!! voir moins ...
Le porc élévé à l'ancienne n'est pas plus cher
faites le bon choix, n'engraissez pas les industriels, les vendeurs de materiels de batterie, les services veterinaires pourris, les actionnaires des grandes surfaces

PETITIONS :
"Qu’ils soient adultes ou nouveau-nés, les animaux faibles, blessés ou malades n’ont aucune valeur économique et sont alors laissés à l’agonie dans des souffrances atroces au beau milieu des animaux vivants, ou bien ils sont entassés encore vivants dans les conteneurs de cadavres."


Si vous etiez un porc ...
Le modèle d'elevage français :


et pourtant ces mêmes français vont acheter ces porcs d'élevages dans leur grandes surfaces !!!
cherchez l'erreur ...
Devenez Vegan !

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